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12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 11:44
Le 25  mai, s’abstenir aux européennes : une faute grave !

Source : le blog de Raoul Marc Jennar

Il en est qui font campagne pour l’abstention lors du scrutin européen du 25 mai. Examinons leurs raisons.

 

Certains disent : « pourquoi voter pour un Parlement européen (P.E.) qui n’a aucun pouvoir ?»  Ce n’est pas exact ; ils devraient s’informer et lire les traités actuellement en vigueur. Ils devraient lire cet excellent petit livre « Le Parlement européen, pour faire quoi ? » dont les auteurs qui ne peuvent être qualifiés d’européistes (B. Cassen, H.Michel, L. Weber). On n’argumente pas en travestissant la réalité. Reprenons leurs principales critiques :

-  le P.E. n’a pas le pouvoir de proposer. C’est vrai. Mais qu’en est-il de ce pouvoir dans les parlements nationaux ? Quelle est la part réelle de l’initiative parlementaire dans le travail législatif national ? Dérisoire. Depuis le début de l’actuelle législature (depuis le 20 juin 2012), 125 des 157 lois adoptés étaient d’origine gouvernementale, soit près de 80% des textes votés.

 

-  le P.E . n’est que co-législateur puisque tous les textes législatifs qu’il adopte doivent avoir l’agrément du Conseil des Ministres et de la Commission. C’est vrai. Mais encore une fois qu’en est-il au Parlement français ? Les textes adoptés ne doivent-ils pas, dans les faits, avoir l’accord du gouvernement ?

 

Par contre, ce qu’on passe trop souvent sous silence, c’est que le Parlement européen dispose du pouvoir de rejeter les textes proposés. Mais la majorité droite-pseudo gauche de ce Parlement préfère les approuver. Il est extrêmement rare qu’un texte législatif soit rejeté: au cours des trois dernières législatures (en quinze ans donc), seule la directive sur la libéralisation des services portuaires a été rejetée suite à l’intense mobilisation des dockers. Dans tous les autres cas, la majorité droite-PS a accepté les textes proposés.

 

Il ne fait aucun doute qu’au regard de l’idéal démocratique qui demeure à appliquer en France, le PE pourrait disposer de pouvoirs plus larges. Mais nous savons que ce sont les gouvernements des Etats qui limitent ces pouvoirs. C’est d’abord aux gouvernements successifs de la France qu’il faut s’en prendre si on veut changer d’Europe.

 

Ils affirment que « ce PE soutient les politiques néo-libérales proposées par la Commission européenne et adoptées par les 28 gouvernements réunis en Conseil des Ministres. » C’est vrai. Et cela prouve que le PE a du pouvoir. Puisqu’il pourrait ne pas les soutenir. Mais à qui la faute si les choix sont de droite ? Pas à l’institution qu’est le PE ! Mais bien aux partis politiques de droite et de la pseudo-gauche qui votent ensemble l’écrasante majorité des textes. Comme l’écrivent très justement les auteurs de cet excellent petit livre intitulé « Le Parlement européen, pour faire quoi ? » c’est à l’alliance des chrétiens-démocrates et des sociaux-démocrates qu’il faut attribuer le caractère néo-libéral des textes adoptés. Et les auteurs de conclure « si le Parlement veut, il peut ». Cette orientation dépend donc avant tout du vote des électeurs.

Enfin, ils proclament « il faut s’abstenir pour manifester notre rejet de cette Union européenne qui nie la démocratie et la justice sociale parce qu’elle nie la souveraineté des peuples ». Je suis d’accord sur le constat, mais je ne considère pas que ce soit la bonne méthode pour changer d’Europe, ni même pour changer l’UE. En effet, lors du précédent scrutin européen, en 2009, il y a eu, votes blancs et nuls compris, 62, 12% d’abstentions en France. En quoi cela a-t-il changé les choix politiques de l’UMP puis du PS ? En quoi cela a-t-il empêché la majorité PS – EELV de ratifier tel quel le pacte budgétaire Merkel-Sarkozy ? En quoi cela a-t-il modifié les orientations de l’UE ? Quelle révolution cela aurait été si seulement la moitié de ces abstentionnistes en 2009 avait soutenu l’une ou l’autre des listes de la gauche de gauche !

 

Quant à affirmer qu’en délégitimant le Parlement européen par un boycott massif de l’élection « les décisions européennes n’auront plus aucune portée en France », c’est oublier que les décisions européennes sont pour l’essentiel prises avec l’accord des 28 Etats, c’est-à-dire des 28 gouvernements et que ce sont donc aussi des décisions qui engagent le gouvernement français et qui s’appliquent en France.

 

De plus, cette année, alors que se négocie le grand marché transatlantique (GMT), nous allons élire les députés européens qui auront à le ratifier, si la négociation aboutit. Puisque, désormais, le Parlement européen a le pouvoir d’adopter ou de rejeter de tels traités. Il a usé de ce nouveau pouvoir le 4 juillet 2012 en refusant l’ACTA, un traité au contenu liberticide négocié par l’UE dans le plus grand secret. Affirmer, comme les partisans du boycott le prétendent que « le résultat du scrutin n’aura aucun impact » sur l’avenir du GMT, c’est tout simplement se faire les complices des partisans du GMT.

 

Il nous est donc possible de choisir des candidats qui sont radicalement et sincèrement opposés à ce projet funeste pour les peuples d’Europe. Et de faire de cette élection un référendum pour ou contre le GMT.

 

  • Je veux ajouter ceci. A côté de ceux qui s’abstiennent, il y a ceux qui ne s’abstiennent pas : les électeurs du FN. Et ce parti, on l’a vu aux récentes municipales, profite des abstentions pour gagner plus de sièges qu’il en obtiendrait s’il y avait moins d’abstentions. S’abstenir aux européennes, cela équivaudra à donner plus encore de députés européens au FN. Et ce choix discréditera la France et n’aura aucune influence sur la nécessité de faire rupture avec les orientations politiques de l’UE et les institutions qui les portent. Parce que ce sera un choix d’extrême-droite.

 

  • S’abstenir est une grave erreur. Une faute politique majeure. Il faut au contraire se mobiliser massivement pour ceux qui ont combattu le traité constitutionnel européen en 2005 au nom des valeurs de gauche et qui sont restés fidèles à ce choix, pour ceux qui au Parlement européen n’ont jamais mêlé leurs voix à la sainte alliance de la droite et des sociaux-démocrates, pour ceux qui rejettent le capitalisme rose comme le capitalisme vert.

 

  • S’abstenir, c’est faire du score du FN l’événement médiatique majeur du scrutin ; voter massivement Front de Gauche, c’est créer l’événement politique et annoncer aux peuples d’Europe, et en particulier au peuple grec martyr de l’UE, qu’un espoir est né en France de remplacer l’UE par une union des peuples d’Europe fondée sur la démocratie, la justice sociale, l’exigence écologique et le respect absolu de la souveraineté populaire.

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27 avril 2014 7 27 /04 /avril /2014 12:01
TAFTA : qu'en pense le Front National ?
Marion Maréchal-Le Pen prise en flagrant délit de mensonge

Source : François Cocq sur  le site du Parti de Gauche

Invitée de RMC-BFM le lundi 19 mai, Marion Maréchal n’a pas hésité à mentir de manière éhontée pour se soustraire aux prises de position à géométrie variable du Front National sur le traité transatlantique de libre-échange.

 

Interpelée par l’animateur, la députée du Vaucluse a non seulement fait mine de ne pas être au courant du vote contre une délibération refusant ce projet de traité par les membres de son parti au conseil régional de Picardie, mais elle a également été frappée d’amnésie sur un vote similaire et unanime émis au mois de février par le Front national dans sa propre région PACA !

 

Chez les Le Pen, l’âge ne fait rien à l’affaire. Le groupe de papi, grand admirateur de l’ultra-libéral Ronald Reagan, vote, la fille gesticule, et la petite-fille oublie. Pour le projet de marché transatlantique, le FN et son armée népotique sont définitivement à ranger du côté des opposants de pacotille.

 

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5 avril 2014 6 05 /04 /avril /2014 11:30
L’histoire (glaçante) de l’extrême droite française

 Le parti de Marine Le Pen pourrait devenir le premier parti de France aux élections européennes. Face à cette perspective glaçante, il est plus que jamais nécessaire de rappeler l’histoire nauséabonde de l’extrême droite française.

C’est ce qu’a fait pendant six mois l’historien Stéphane Mazurier dans Siné Mensuel.

 

Source : Stéphane Mazurier raconte...  publié le 18 mars 2014 | article modifié le 27/12/2020

 

Première partie (sur 6) : 1789 – 1814

Au temps de la cocarde noire

 

- Cette histoire pleine de bruit et de fureur a commencé avec la Révolution de 1789, sur les bancs de l’Assemblée constituante, en même temps qu’est né le clivage gauche-droite.

À gauche du président de l’Assemblée s’étaient rassemblés les députés favorables à une sérieuse limitation des pouvoirs du roi, tandis qu’à droite siégeaient ceux qui souhaitaient que son autorité soit maintenue. Quelque deux cents individus se sont placés le plus à droite de la chambre : ils exigeaient que le roi redevienne le monarque absolu qu’il était naguère. Ceux-là vomissaient les profondes avancées sociales et politiques qui venaient d’être décidées : l’abolition des privilèges et des droits féodaux lors de la nuit du 4 août, la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen trois semaines plus tard… pour lire la suite...

 

ou, le document intégral à télécharger ci-dessous...

 

- Annie Lacroix-Riz : le fascisme français est venu de la droite

Le champ intellectuel français se parsème de livres fascistes et collaborationnistes, certain sont publiés, d’autres stoppés par des protestations.

 

Ces livres posent les question de savoir si ils sont sain à la disposition de tout le monde, même accompagné de critique ou est-ce alors une fascination pour une prose criminelle ?

 

Pour en parler Aude Lancelin reçoit aujourd’hui dans l’Entretien Libre Annie Lacroix-Riz, historienne et militante politique, spécialiste des relations internationales dans la première moitié du XXe siècle.

 

Elle a notamment écrit sur l’histoire politique, économique et sociale de la Troisième République et de Vichy, sur la collaboration pendant la Seconde Guerre mondiale, sur les relations entre le Vatican et l’Allemagne nazie ainsi que la stratégie des élites politiques et économiques françaises avant et après le conflit mondial.
 

L’histoire (glaçante) de l’extrême droite française
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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 10:46
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26 mars 2014 3 26 /03 /mars /2014 10:35
Municipales 2014 • Tour d'horizon, chiffres clés et analyse

Le 2nd tour des élections municipales a confirmé, voire amplifié toutes les caractéristiques du 1er tour.

 

Sources : Laurent Maffeïs et le Pôle argumentaire du PG
- Une abstention populaire
Un nouveau record historique d’abstention est atteint lors de ce second tour avec 36,3% contre 34,08% pour le précédent record atteint en 2008. La composante populaire de l’abstention s’accentue encore lors de ce second tour. Elle recule par exemple à Paris par rapport à 2008, en particulier dans les arrondissements les plus bourgeois (7,8, 15,16ème). Mais elle explose dans les villes populaires de banlieue, particulièrement celles détenues par le PS, pour dépasser 55% par exemple à Evry, Villiers-le-Bel, Roubaix ou Trappes. Dans ces communes qui avaient voté autour de 70% pour François Hollande aux présidentielles, la politique du gouvernement a réussi à dégoûter une large majorité des électeurs.

 

Un autre symptôme de l’approfondissement de la crise politique est l’atomisation du paysage politique dans 986 triangulaires et 207 quadrangulaires, là aussi un record historique. Elles traduisent la défiance des électeurs face aux partis dominants en crise qui ont vu se multiplier les dissidents capables de se maintenir au second tour.

 

 

- Un désastre pour le PS
Le PS perd 162 villes de plus de 10 000 habitants en métropole et outre-mer. Il perd 10 villes de plus de 100 000 habitants. Il faut remonter à 1972 pour retrouver un niveau aussi faible du PS dans le paysage municipal. Hollande a ainsi achevé de ruiner l’implantation municipale du PS construite dans la foulée du congrès d’Epinay et du programme commun. Le PS perd des bastions historiques comme Limoges, détenue depuis un siècle, ou Nevers, détenue depuis un demi-siècle. Trois ministres (Moscovici, Guillaume Garot et François Lamy) qui se présentaient sur des listes PS largement sortantes font lourdement perdre la gauche. Signe de la défiance face au PS, plusieurs dissidents socialistes terrassent les listes sortantes soutenues par le PS à Dunkerque, La Rochelle ou Montpellier.

 

Et même là où le PS sauve de justesse des villes comme Paris, Lyon, Lille ou Strasbourg, il va perdre la majorité dans les communautés urbaines et futures métropoles. Là où le PCF n’avait pas assumé clairement une ligne d’opposition de gauche, il est emporté avec le PS par la vague du désastre. Par exemple à Bobigny, au Blanc Mesnil ou à Villejuif, le PC perd au profit de la droite alors qu’il avait fait liste commune avec le PS dés le 1er tour. Et là où le PS avait refusé par sectarisme toute fusion avec nos listes, il perd souvent avec une marge inférieure à notre score du 1er tour. C’est le cas à Toulouse où l’alliance PS-PCF perd la ville avec 4,1 points d’écart avec la droite au 2nd tour, là où notre liste autonome avait obtenu 5,1% au 1er tour.

 

 

- La droite gagne mais reste en crise
La droite atteint son plus haut niveau de conquêtes aux municipales depuis 1947. Elle contrôle désormais 60 % des villes de plus de 10 000 habitants contre 44 % à l’issue des précédentes municipales. Cette percée n’est cependant pas homogène au profit de l’UMP mais se fait souvent en faveur de l’UDI (Nancy, Amiens, Laval, Bobigny) et du Modem (Pau). Loin d’atténuer la crise de la droite, cette victoire marque donc la réémergence d’un centre droit puissant sur le plan électoral. Une nouvelle d’autant plus mauvaise pour l’UMP que Modem et UDI ont d’ores et déjà annoncé qu’ils feraient des listes distinctes de l’UMP aux européennes.

 

En ayant littéralement dissout le peuple dans l’abstention, la politique de Hollande permet même à la droite de s’ancrer dans des départements jusque là largement dominés par la gauche. C’est le cas en Seine Saint Denis, département régulièrement le plus à gauche de France aux élections nationales, où la droite contrôle désormais 50% des villes de plus de 10 000 habitants alors que la gauche en contrôlait jusqu’ici 70%. Cette percée de la droite en banlieue a d’ailleurs été ouvertement aidée par Marine Le Pen. Dans des terres où l’implantation du FN est faible, elle a délibérément opéré des jonctions avec des responsables de droite conformément à la stratégie du FN de conquête du leadership de la droite. Ce fut par exemple le cas à Villeneuve Saint Georges ou à Sevran en Seine Saint Denis.

 

 

- Des conquêtes FN en trompe l’œil
Le FN conquiert 11 villes de plus de 9 000 habitants, mais seulement deux avec plus de 50 %. Hayange n’est par exemple conquise qu’avec 34%. La plupart du temps le FN a surfé sur la crise de la droite pour conquérir ces villes dans ces triangulaires ou quadrangulaires où la droite était lourdement divisée. Ces conquêtes servent néanmoins au FN à masquer son absence de progression au second tour dans la majorité des villes où il se maintenait. Il ne progresse ainsi que quand il est en situation de conquête et pas dans la plupart des triangulaires. Les deux vice-présidents du FN et bras droit de Marine Le Pen, Florian Philippot et Louis Alliot échouent d’ailleurs à Forbach et Perpignan, tout comme les 2 députés FN, Gilbert Collard et Marion Maréchal-Le Pen qui ne parviennent pas à capitaliser leur implantation dans le Gard et le Vaucluse. Quant à l’argument selon lequel le FN aurait contribué à faire reculer l’abstention là où il est fort, il est très diversement vérifié. La perspective de victoire du FN a en effet suscité un regain de mobilisation d’électeurs de droite radicalisés à Fréjus ou Toulon mais elle a aussi mobilisé des abstentionnistes pour empêcher la victoire du FN comme à Avignon.

 

 

- Progression des listes d’opposition de gauche

A l’issue du 1er tour, voici comment se sont réparties nos 308 listes ayant obtenu plus de 10% : 67 ont gagné au 1er tour, 82 ont eu des élus dés le 1er tour dans une ville gagnée par d’autres que nous, 25 ont fusionné avec des listes PS en tête, 13 se se sont retirées sans fusionner et 121 se sont maintenues au second tour.


Ces 121 listes d’opposition de gauche maintenues au second tour enregistrent un résultat de 27,64%, en progression de 5 points par rapport au 1er tour où elles avaient réalisé 22,47% en moyenne. Cette progression marque le succès massif de la stratégie d’autonomie conquérante que nous avons défendue.

 

Quelques progressions éclatantes de nos listes maintenues :

  • Grenoble : notre liste EELV-PG obtient 40% contre 26% pour la liste PS-PCF qui avait refusé de fusionner. Nous progressons de 7 000 voix et 11 points.
  • Paris 20ème arrondissement : avec 13,6% Danielle Simonet parvient à être élue conseillère de Paris en progressant de 3,3 points et 2 000 voix.
  • Evry : dans la ville de Manuel Valls, la liste FDG progresse de 3 points et obtient 18% au second tour.
  • Trappes : la liste FDG passe de 16 à 18% en se maintenant face à la liste du ministre PS Benoit Hamon
  • Châteauroux : la liste FDG passe de 10 à 13%, et passe devant le FN
  • Nîmes : la liste FDG-EELV passe devant le PS, qui était pourtant en tête de la gauche au 1er tour. Elle progresse de 1 000 voix ce qui lui permet de passer de 12 à 15%, tandis que la liste PS perd 230 voix et passe de 15 à 14%.
  • Carmaux : dans la ville de Jaurés, la liste maintenue du FDG voit son nombre de voix progresser de 25%, et passe de 27 à 33%
  • Lyon : nos 2 listes maintenues progressent, dans le 1er en emportant l’arrondissement et dans le 4ème en passant de 10 à 15%
  • Sevran : la liste FDG maintenue passe de 24 à 31%
  • à Bouguenais à côté de Nantes, au cœur de la mobilisation contre Notre Dame des Landes, notre liste d’opposition de gauche passe de 21 à 27%
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Rédacteur

  • Pour une Révolution citoyenne par les urnes
  • Retraité SNCF, engagé politiquement depuis l'âge de 15 ans, militant du PCF de 1971 à 2008, adhérent au Parti de Gauche et à la France Insoumise depuis leur création, ex secrétaire de syndicat, d'Union locale et conseiller Prud'homme CGT  de 1978 à 2022.
  • Retraité SNCF, engagé politiquement depuis l'âge de 15 ans, militant du PCF de 1971 à 2008, adhérent au Parti de Gauche et à la France Insoumise depuis leur création, ex secrétaire de syndicat, d'Union locale et conseiller Prud'homme CGT de 1978 à 2022.

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